Bleak Sword, le test
Avec Bleak Sword il ne faut pas se fier aux apparences. Derrière des graphismes 8 bits en noir et blanc et rouge, se cache un jeu d’action très nerveux !
Contenu
Bleak Sword, un jeu exigeant au bout d’un doigt
Les controls sont simples : glisser le doigt pour faire des roulades, esquiver les attaques et se déplacer. Appuyer au bon moment pour parer une attaque et obtenir une contre-attaque. Rester appuyer sur l’écran pour charger l’attaque et glisser vers l’ennemi pour attaquer.
C’est également un petit régale à la manette, si vous avez une manette Xbox, PlayStation ou MFI, profitez-en.
Il faudra apprendre les patterns des différents ennemis pour progresser dans le jeu. Il faut être efficace pour se débarrasser rapidement de ces derniers, sinon on se retrouve assailli de toutes parts. Certains niveaux peuvent donner de fils à retordre. Il faut même dans certain cas, ne pas hésiter à refaire des niveaux précédents pour augmenter les dommages et la défense de son héros. La difficulté est progressive, mais avouons le, ce jeu est dur. On peut finir par s’arracher les cheveux vers les derniers niveaux.
Les graphismes de Bleak Sword surprennent. En effet c’est un mélange de pixel art en très basse résolution plaqué sur des environnements en 3D. Bien que chaque tableaux tiennent dans la largeur d’un écran, la lisibilité reste très bonne.
À la musique on retrouve Jim Guthrie (la bande original de Sword & Sworcery) et son style si particulier complètement en accord avec les graphismes.
C’est un jeu pour les amateurs de défis. On termine le souffle court, complètement tendu, les doigts agrippés à son téléphone.